Noah répond sans attendre à son baiser, même s'il a du mal à assimiler tout ce qui vient de se passer, notamment que la jeune fille désire aller plus loin avec lui, sans même attendre. Il n'arrive pas à y croire, et il a bien du mal à comprendre cette décision. Certes, il n'a pas l'intention de la lâcher après, mais elle devrait avoir peur qu'il le fasse, et le faire attendre juste pour le mettre à l'épreuve. Et même attendre d'être sûre d'être prête.

Cependant, il ne parvient à se décoller de ses lèvres pour continuer à émettre ses objections, puisque la demoiselle reprend aussitôt possession de ses lèvres dès qu'il a le malheur d'essayer de s'en éloigner, tout en s'accrochant davantage à lui. Il finit par céder, la serrant contre lui avant d'ensuite de déboutonner doucement les derniers boutons du chemisier de la jeune fille, pour ensuite lui enlever avec douceur. Il s'attaque ensuite à son short, et Billie rougit en se réalisant en sous-vêtements. Cela fait sourire Noah, qui enlève ses propres vêtements pour être seulement en boxer.

Le jeune homme laisse ensuite glisser ses mains sur le corps de la jeune fille, et plus particulièrement sur les courbes de son corps, et elle ferme les yeux savourant ces douces caresses qui la font frissonner. Puis, petit à petit, Noah la pousse délicatement en arrière, pour ainsi l'allonger sur le lit et être au-dessus d'elle.

Une fois dans cette position, Noah plante son regard dans celui de la demoiselle, puis il parcourt son corps, ne pouvant s'empêcher de l'admirer.

Elle est magnifique. Songe-t-il alors, ayant bien du mal à contenir ses ardeurs, ne voulant pas aller trop vite.

Billie remarque bien évidemment les regards plein de désirs du june homme au-dessus d'elle, et elle ne peut s'empêcher d'en rougir, bien qu'elle est flattée de l'attirer à ce point. De plus, le jeune homme est très peu vêtu lui aussi, et cela la gêne également, bien qu'elle apprécie la vue de ce corps bien bâti.

-Tu es certaine d'être prête ? Lui demande-t-il tout de même, ayant bien constaté la gêne de la demoiselle.

-Oui. Lui assure-t-elle confiante.

-On peut attendre. Il n'y a rien qui presse. Lui dit-il, bien qu'il n'a qu'une envie en cet instant présent : l'embrasser, lui enlever les deux bouts de tissus qu'elle a encore sur elle, et lui faire l'amour.

-Embrasse moi au lieu d'essayer de me faire douter. Sourit-elle, avat qu'il ne s'exécute finalement.